Il fallait toute la fermeté du vieux maréchal de Biron, pour maintenir, dans le régiment des gardes françaises, l’exacte discipline qu’il y avait ramenée. Son successeur, le duc du Châtelet, qui n’était pas exempt d’un certain esprit systématique, laissa ce régiment exposé à toutes les séductions que peut présenter une garnison comme Paris. Aussi ce corps fut-il le premier à abandonner son prince à l’époque du 14 juillet. Ceux qui se trouvaient à Versailles résistèrent encore quelques jours ; mais, un matin, ils abandonnèrent leurs postes, et l’on fit venir le régiment de Flandres pour les occuper.
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